mardi 27 juin 2017

L’inclusion sociale par le sport impose une ingénierie et des critères

Si le sport est reconnu comme un vecteur d’inclusion sociale, il ne suffit pas de mettre quelques sportifs en relation avec le public pour qu’elle se fasse comme par enchantement. La mise en œuvre d’une telle démarche impose au contraire des critères techniques qui dépassent le simple cadre de la solidarité.
L’Iris, France terre d’asile et la Fédération française de badminton ont réussi ce pari et souhaitent le conceptualiser dans un guide des bonnes pratiques pour permettre aux réfugiés et aux migrants d’utiliser le sport pour mieux connaître la société dans laquelle ils vivent.
C’est une citation-valise, qui paraît s’imposer d’elle-même à sa seule prononciation : « Le sport comme outil d’inclusion sociale ». C’était le thème d’un débat organisé à l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés par l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), France terre d’asile et la Fédération française de badminton.

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Journaliste spécialisé dans l'actualité sportive, j'ai collaboré, entre autres, à So Foot, Libération, Radio France Internationale. Aujourd'hui, je suis particulièrement les politiques sportives au plan national et dans les collectivités locales pour Localtis.